Témoignage N°1 d'un propriétaire de Poicephalus de Meyer

Ce petit piaf aussi coloré que culotté est arrivé dans notre vie sans nous demander la permission et presque sans crier «gare!». On avait choisi un jeune perroquet de Rüppel, son voisin, mais O'Maley NOUS a choisi.
Après avoir pris connaissance du minimum requis pour apprivoiser un perroquet, nous avons ouvert la cage, plein de peur et d'appréhension. Ben... O'Maley n'a pas eu besoin de toutes ces théories, il est venu se poser sur nous en gazouillant. Il passait de l'un à l'autre, déjà plein d'affection et de tendresse. Un vrai «accroche-cœur».



Il est réputé pour être parfait comme premier perroquet dans une famille avec des
petits enfants. Le Poicephalus de Meyer n'est pas peureux, n'est pas rancunier non plus.
C'est un petit oiseau vif, indépendant, tendre et facile à vivre qui ne demande qu'à aimer et à être aimé.
Il n'est pas difficile pour manger non plus.

 Il est aussi déjà parti en week-end avec nous, dans une cage plus petite, et s'est comporté comme un amour ! Il était captivé par tout ce qu'il voyait. Nous savons que le Meyer n'est pas doué pour parler «humain», mais il peut dire quelques mots. A 6 mois, O'Maley a déjà dit CALIN et COIN-COIN. Il imite également le bruit du bisou. Il émet de jolis sifflements très harmonieux, mais crie aussi parfois pour dire «bonjour», pour prévenir que quelqu'un entre dans la maison, ou pour... râler.

En liberté dans la maison, il fait presque toujours ses besoins au même endroit. Pendant la saison chaude, il appréciait beaucoup d'avoir sa cage à l'extérieur. Pas effrayé du tout le bonhomme ! La nuit, nous couvrons sa cage. Nous respectons son sommeil. Nous ne regardons jamais ce qu'il fait dans son intimité (son perchoir du haut, sous son toit). Il ne m'a pincé qu'une fois pour m'expliquer cela justement !

Merci à Mally pour son témoignage

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